Michel Ferchaud
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A partir de 8 ans
1h20
Mise en scène Christian Duchange
Année de création
2008
Distribution

Musique / Jean-Louis Laruette
Paroles / Louis Anseaume

Direction musicale et restitution de la partition / Ensemble les Monts du Reuil
Réalisation vidéo / Stephan Castang

Cendrillon / Tania Chauche
La marraine / Johanne Cassar
La sœur cadette / Frédérique Moreau de Bellaing
La sœur aînée / Laure Seguette
Azor / Nicolas Rouault
Pierrot / Sébastien Chabanne
Violons / Anne-Violaine Caillaux et Marie-Aude Guyon
Alto / Véronika Jichova
Violoncelle / Pauline Warnier
Clavecin / Hélène Clerc-Murgier
Scènographie / Christian Duchange et Stephan Castang
Maquette scénographie et visuel / Alice Duchange
Assistant à la mise en scène / Stephan Castang
Image - montage / Thomas Bart et Julien Schaferllee
Création lumières / Jean-Jacques Ignart
Création costumes et réalisation / Nathalie Martella assistée de Aude Frappesauce
Réalisation décor / Les ateliers du Duo Dijon assistés de Nathalie Devaud et Christophe Boisson
Maquillages et coiffures / Pascal Jehan
Réalisation musicale des vaudevilles / Denis Chevalier et Emmanuel Clerc
Régie Générale / Cati Réau
Chargée de production / Virginie Lonchamp assistée de Céline Dupuy

Production

Compagnie L'Artifice

Co-production

Duo Dijon, TDB - CDN de Dijon, ABC, Le Théâtre, scène nationale de Mâcon, Opéra de Reims, festival Mélimôme, Le Trident – scène nationale de Cherbourg, Opéra de Bordeaux, festival «Les Coups de Théâtre» - Montréal (Canada)

Soutien de l'ARCAL

Cendrillon

M. Laruette & M. Anseaume

Opéra-comique en 1 acte avec vaudevilles (1759)

Une Cendrillon baroque

 

Ici, l’histoire commence et le bal a déjà eu lieu. Cendrillon est aux prises avec deux mondes : le monde vrai et le monde possible. Elle vit un grand écart. Une pantoufle dans son grenier et l’autre dans le palais, elle traverse les délices et les angoisses du passage, bouleversée par l’intrusion des souvenirs du bal dans son lieu de relégation. Comment accueillir le monde qui change ? 

Ce grenier, où elle est condamnée à s’occuper du linge de la maison, devient le théâtre de ses pensées, elle fait son cinéma sur l’écran blanc des draps qui sèchent. Dans cet entre-deux mondes, les monstres apparaissent. Elle craint la disgrâce de sa marraine parce qu’elle lui a désobéi, elle voit l’être aimé dans les bras de ses soeurs rivales. L’émissaire et ami du Prince apparaît enfin pour annoncer « l’épreuve » qui attend toutes les filles du pays. 

La solution surgit toujours lorsque le vrai et le possible coïncident. Du grenier, on retourne, en un coup de baguette de la marraine, maîtresse du jeu, dans le palais. Chacun retrouve sa chacune. 

Les amants retrouvent vite le chemin de leur amour naissant au point que « l’épreuve » effraie. Le prince refuse l’essayage de la pantoufle faisant du même coup un dernier « pied de nez » aux conventions établies.

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